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blagues drôles - Page 32

  • Que d'eau, que d'eau...

    Un Suisse descend de sa chambre d'hôtel et réveille le réceptionniste :
    - Puis-je avoir un verre d'eau, s'il vous plaît ?
    Le réceptionniste lui donne un verre d'eau puis retourne se coucher.
    Dix minutes plus tard, le même client redescend de sa chambre et redemande un verre d'eau.
    Le réceptionniste donne le verre d'eau puis fonce se recoucher.
    Et ça continue comme ça pendant une heure.
    Le réceptionniste fulmine :
    - Mais qu'est-ce que vous avez bien pu manger pour avoir une soif pareille ?
    - J'ai pas soif, répond le Suisse, y a le feu dans ma chambre.

  • Connaisseur

    Au théâtre, pendant l'entracte, deux spectateurs se soulagent dans les urinoirs.
    L'un d'eux entame la conversation :
    - Quelle belle pièce !
    - Je vous en prie, monsieur, regardez devant vous !

  • À la vôtre !

    Qu'est ce qui est écrit sur le fond des canettes de bière belges ?

    Ouvrir de l'autre côté.

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  • Une bonne affaire

    C'est un gars qui passe dans une rue à putes. Il en aborde une :
    - C'est combien la turlute ?
    - C'est 30 euros.
    - Oh mince, j'en ai que 10. Bon, je te les donne et je te file mon portable. Ça te va ?
    La fille réfléchit et dit :
    - Bon, OK.
    Le gars monte avec elle et fait sa petite affaire, puis lui donne 10 euros et s'apprête à partir.
    - Hé ! Et ton portable ? s'exclame la fille.
    - Ah oui... 06 45 11 11 11.

  • Trois mères juives

    Trois mères juives parlent de leurs fils :
    - Mon fils, il est tellement riche qu'il pourrait acheter tout Paris s'il voulait.
    La deuxième soupire :
    - Bah bah bah... Moi, mon fils, il est tellement riche qu'il pourrait acheter tout Paris et tout New York s'il voulait.
    Alors la troisième s'écrie :
    - Et qui vous dit que mon fils veut vendre ?

  • Farceur

    Toto arrive en courant près de sa mère en train de préparer le repas à la cuisine.
    - Maman ! Maman ! Y a un monsieur qui couche avec la bonne !
    - Sa mère sursaute.
    - Comment ça, un monsieur ?
    Toto éclate de rire.
    - Mais non, c'est une blague. C'est juste papa.

  • Un mari attentionné

    Un couple arrive dans un hôtel. Le groom monte leurs bagages dans la chambre et demande au monsieur :
    - Avez-vous besoin de quelque chose ?
    - Non merci.
    - Et pour votre femme ?
    - Ah, vous faites bien de m'y faire penser. Montez-moi une carte postale et un timbre.

  • Sur le chemin de la route

    Un journaliste interroge un paysan corse :
    - Dites-moi, comment faites-vous pour tracer les routes ici ?
    - Ben on lâche un âne, on regarde par où il passe dans la montagne et c'est là qu'on fait passer la route.
    - Et si vous n'avez pas d'âne?
    - Ah... ben là, bien sûr, on prend un ingénieur.

  • Hospitalité

    Paul, un jeune garçon de ferme, renverse accidentellement son camion de maïs sur la route. Un fermier voisin arrive sur les lieux et lui dit :
    -  Ecoute, laisse tomber tout ça pour le moment. Viens à la maison, dîne avec nous, et après je t'aiderai à relever ton camion.
    - Oh! merci, c'est très gentil à vous, mais je ne crois pas que papa serait d'accord.
    - Allons, ne fais pas de manières.
    - Bon, d'accord... Mais ça ne va pas plaire à papa.
    Après avoir dîné, Paul remercie son hôte :
    - Ah ! je me sens bien mieux, mais papa va vraiment être fâché.
    - Ne dis donc pas de bêtises. Et d'abord, il est où, ton père ?
    - Sous le camion.

  • A quatre pattes

    Pourquoi les blondes marchent-elles à quatre pattes dans les supermarchés ?

    Pour trouver les prix les plus bas.

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  • L'amour à l'ancienne

    Un homme tombe sur une annonce dans le journal : "Venez faire l'amour à l'ancienne."
    Il s'imagine tout de suite au début du siècle dernier à participer à une orgie. Il décroche le téléphone et prend rendez-vous. Lorsqu'il arrive à l'adresse indiquée, il sonne et une magnifique jeune femme vient lui ouvrir.
    - Oui, c'est pour quoi ?
    - J'ai rendez-vous pour faire l'amour à l'ancienne.
    La jeune femme lui adresse un large sourire, se retourne et s'écrie :
    - Grand-mère, c'est pour toi !

  • Coïncidences

    Deux types discutent dans un bar :
    - Où est-ce que t'es né, toi ?
    - A Tours.
    - Ah bon ? Moi aussi ! Et dans quelle maternité ?
    - Celle du Beffroi.
    - Moi aussi, dis donc ! Et quel jour ?
    - Le 5 octobre 1975.
    - Ah ben ça alors ! Moi aussi ! C'est dingue !
    Entre alors un troisième homme qui demande au barman :
    - Alors, quoi de neuf ?
    - Bof, rien de nouveau. Les jumeaux sont encore bourrés.

  • A la bonne heure

    Le jeune Samuel monte dans un train et s'installe dans un compartiment face à un monsieur qui lit la Torah. Au bout d'un certain temps, Samuel demande :
    - Vous auriez l'heure, s'il vous plaît ?
    L'autre, imperturbable, continue de lire la Torah. Un long moment passe.
    Le jeune homme demande à nouveau :
    - Excusez-moi, monsieur, vous auriez l'heure, s'il vous plaît ?
    L'homme ne bouge pas, ne répond rien. Le temps passe, et enfin le train arrive à son terminus.
    - Il est 17h30, dit l'homme.
    Samuel le regarde, perplexe.
    - Mais pourquoi vous me le dites maintenant ? On est arrivés, je n'ai plus besoin de savoir l'heure.
    - Si je t'avais donné l'heure dès le début, on aurait fait connaissance, on aurait parlé. J'aurais appris que tu connais untel, que moi aussi je connais, on aurait sympathisé, tu serais venu chez moi, tu aurais rencontré ma fille. Comme elle est belle, ma fille, tu serais tombé amoureux, tu aurais voulu l'épouser... Et tu imagines que je vais donner ma fille à un garçon qui n'a même pas de quoi s'offrir une montre ?

  • Du pain

    Au bord d'un étang, une petite vieille lance des morceaux de pain à des canards.
    Arrive un monsieur qui l'interpelle :
    - Hé madame, qu'est-ce que vous jetez à ces canards ?
    - Du pain, répond la petite vieille. Pourquoi ?
    - Vous savez qu'en Afrique il y a des enfants qui n'ont pas de pain à manger ?
    - Oui, je sais bien, mais je n'arrive pas à lancer aussi loin.

  • En avant la musique !

    Un homme entre dans une maison close. Il s'adresse à la tenancière, une dame plus toute jeune et déjà quelque peu défraîchie :
    - Je voudrais une fille, c'est urgent. Vous savez, je suis musicien et j'ai là dans mon caleçon une trompette qui ne demande qu'à s'exprimer.
    - Oui, je vois, dit la dame. Mais pour l'instant, aucune fille n'est libre, il va falloir attendre un peu.
    - Ah non, ce n'est pas possible. Ma trompette est sur le point d'exploser, de donner le meilleur d'elle-même, un somptueux concert... c'est urgent !
    - Alors il va falloir monter avec moi. C'est tout ce que je peux vous proposer.
    Le type est d'accord. Il monte avec la patronne.
    Une fois leur affaire terminée, la tenancière donne son avis :
    - Dites donc, votre concert de trompette, là, c'était pas si terrible.
    Le gars hausse les épaules.
    - Que voulez-vous, c'est la première fois que je joue dans une salle aussi grande.

  • Quelle autorité !

    Un patron a beaucoup de mal de se faire respecter dans son entreprise.
    Un matin, il n'en peut plus et décide de prendre une mesure radicale : il colle sur la porte de son bureau une grande affiche où est écrit en caractères d'imprimerie :
    LE PATRON ICI, C'EST MOI !
    La journée passe et il se sent beaucoup mieux. Plein d'assurance, il va à ses rendez-vous avec un moral d'acier.
    En rentrant le soir au bureau, il voit un Post-it de sa secrétaire collé à la porte :
    "Votre femme a téléphoné, elle veut que vous lui rendiez son affiche immédiatement."

  • Halètement

    Qu'est-ce qu'il y a de meilleur dans le lait maternel ?

    L'emballage.

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  • Tout simplement

    C'est une brave paysanne qui élève des chèvres et un bouc. Un hiver, le bouc tombe malade. Elle fait venir le vétérinaire, qui ne cache pas son inquiétude. Après avoir fait une piqûre au bouc, il donne des médicaments et dit :
    - Surtout, si vous voulez qu'il guérisse, faites attention à ce qu'il ne prenne pas froid. Gardez-le bien au chaud, je repasserai dans une semaine.
    Une semaine plus tard, le vétérinaire revient et voit le bouc qui gambade.
    - Eh bien, il est guéri, dit-il à la paysanne. Mais comment avez-vous fait avec ce froid ?
    - Oh, ben j'ai réfléchi et je me suis dit que le seul endroit chaud, c'était mon lit. Alors je l'ai mis là.
    - Pas possible ? Et l'odeur ?  demande le vétérinaire interloqué.
    - Oh, il a bien fallu qu'il s'habitue.